Les récentes conditions générales de vente de Uber précisent qu’il est désormais interdit de vomir dans les véhicules, qu’il convient d’employer un vocabulaire respectueux et qu’il faut attacher sa ceinture. Il faudra aussi faire ceinture.
Apparemment, il y a eu suffisamment de retours pour qu’au quartier général de Uber on prenne le temps de modifier le règlement intérieur des véhicules pour interdire les rapports sexuels. Non pas que certains trouvaient excitant de draguer le chauffeur, mais bien que des clients en oubliaient tout simplement sa présence au retour d’une soirée bien arrosée. À moins qu’il ne s’agisse de simples cas d’exhibitionnisme…
Langage tenu et ceinture bouclée
Certainement que l’arrivée d’acteurs comme Uber sur le marché du transport nocturne contribue à davantage de responsabilité vis à vis de l’alcool au volant. Même à 5 heures du matin, trouver un VTC est rapide (du moins dans les villes où le service est proposé). Et généralement la course est moins onéreuse qu’en taxi. Néanmoins, les chauffeurs doivent faire face à la même clientèle plus ou moins alcoolisée que les taxis. Il peut ainsi en résulter une accumulation de problèmes liés à la consommation excessive. Certes, on ne contrôle pas forcément une envie de vomir. Pour le reste, il s’agit de mesures de bon sens.
Photo : chauffeur Uber